Publié le 10/12/2020
En raison du confinement, la JDC, Journée Défense et Citoyenneté, est proposée en ligne. Un parcours numérique en 4 étapes qui, une fois validé, vous permettra de recevoir votre certificat individuel de participation.
Si la JDC a été reportée lors du premier confinement, les sessions de novembre et de décembre 2020 sont proposées en ligne du fait…du second confinement. Si vous êtes concerné.e, vous recevrez une convocation soit par mail, soit par courrier postal.
Pensez à créer votre compte sur majdc.fr.
À compter de la réception de votre convocation, vous disposez de 11 jours pour effectuer votre JDC en ligne. Votre convocation précise la date limite prévue. Si vous avez des difficultés d’accès à internet ou que vous êtes dans l’impossibilité d’effectuer votre JDC en ligne, vous serez prioritaire pour une prochaine session en présentiel, si les conditions sanitaires le permettent.Â
Déroulé en 4 étapes de la JDC en ligne :
C’est après la validation de la troisième étape que vous recevrez, sur votre messagerie majdc.fr, une attestation provisoire, qui permettra de justifier de votre situation «en règle administrativement», en attendant le certificat définitif. À noter que votre compte personnel majdc.fr sera alors bloqué jusqu’à la validation finale par le centre du service national (CSN).
Le certificat individuel de participation (CIP) vous est envoyé si vous avez validé la totalité du parcours en ligne. Si ce n’est pas le cas, vous serez considéré.e comme absent.e et pourrez être à nouveau convoqué.e à la JDC.
Pour rappel, à partir de votre 25ème anniversaire, il n’y a plus d’obligation vis-à -vis du service national. Vous êtes considéré.e de fait comme dégagé.e des obligations de service national, en conséquence aucune attestation ne vous sera délivrée (cf. article L 114-5 du code du service national).
Attention : depuis le 30 novembre 2020, il ne vous est plus possible de fournir une déclaration sur l’honneur d’absence de participation à la JDC pour vous inscrire au permis de conduire , comme c’était le cas lors du premier confinement.
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Par Anne Biguet-Sibiglia