Publié le 05/01/2017
Conduire sous l’effet de substances ou plantes classées comme stupéfiants… quels sont les tests de dépistage aujourd’hui ?
Pour lutter contre la conduite sous l’effet de stupéfiants, les tests de dépistage évoluent.
Un décret du 13 décembre 2016 fixe les modalités du dépistage des substances qui témoignent de l‘usage de stupéfiants au volant.
Cannabis, cocaïne, opiacés, amphétamines peuvent être dépistés par prélèvement salivaire ou recueil urinaire à la place d’un prélèvement sanguin. Toutefois, en cas de contrôle vous pouvez également demander un prélèvement sanguin en plus du prélèvement salivaire pour, par exemple, procéder à un examen technique par un expert ultérieurement.
La recherche de présence d’une ou plusieurs substances peut être pratiquée en cas d’accident mortel, corporel, matériel mais aussi en cas d’infraction au code de la route, de suspicion d’un usage de stupéfiants de la part du conducteur…
Par Fabienne Masse